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Ils ont créé un système avec un plan B : la délocalisation... J'explique. Pendant des dizaines d'années, le colonialisme maintenait la misère dans les pays dits du "tiers monde" et la consommation explosait dans ceux des deux autres tiers, mais les prix augmentaient et les salaires baissaient afin de toujours augmenter les marges et les profits des patrons. Quand les salariés en ont eu marre de bosser pour des miettes et se sont mis à revendiquer, le plan B était là : dans les pays dits du tiers monde, où la population est tenue dans des mains gantées de fer, par les pays riches, les peuples crèvent de faim et sous le joug de la répression étatique, avec donc la complicité des pays riches, donc dans ces pays le peuple est aujourd'hui prêt à bosser pour presque rien (les miettes que les salariés refusent dans les pays riches, mais encore divisées par 4 ou 5, voire 10 ou 20, bref...), alors comme ils les ont réellement les moyens ils "délocalisent". Je rappelle à propos que les entreprises concernées font des chiffres d'affaire astronomiques car leur gestion est libérale et capitaliste à l'extrême, alors mettre sur la paille quelques dizaines d'hommes et de femmes, et construire (à bas prix) une usine de remplacement à 20.000 kilomètres, où des remplaçants pauvres vont aller non seulement bosser pour 10 fois moins, mais en plus pour une productivité 2 fois meilleure (oui car le pauvre est prêt à tout pour garder un travail offert généreusement par un riche européen - mais qui en a une toute petite - qui viendrait "aider à ce que son pauvre pays se développe", même de se tuer littéralement au travail, de bosser 12 à 24 heures par jour... Eh!... Ces pauvres là ne sont pas nos "SDF" parisiens habillés en Nike et en Lacoste... faut pas déconner), c'est tout à fait envisageable pour ces crevards ! Et quoi qu'on fasse ça changera pas, sauf si on s'y met tous. Je suis épuisé. Qui prend le relai?
Ils ont créé un système avec un plan B : la délocalisation... J'explique. Pendant des dizaines d'années, le colonialisme maintenait la misère dans les pays dits du "tiers monde" et la consommation explosait dans ceux des deux autres tiers, mais les prix augmentaient et les salaires baissaient afin de toujours augmenter les marges et les profits des patrons. Quand les salariés en ont eu marre de bosser pour des miettes et se sont mis à revendiquer, le plan B était là : dans les pays dits du tiers monde, où la population est tenue dans des mains gantées de fer, par les pays riches, les peuples crèvent de faim et sous le joug de la répression étatique, avec donc la complicité des pays riches, donc dans ces pays le peuple est aujourd'hui prêt à bosser pour presque rien (les miettes que les salariés refusent dans les pays riches, mais encore divisées par 4 ou 5, voire 10 ou 20, bref...), alors comme ils les ont réellement les moyens ils "délocalisent". Je rappelle à propos que les entreprises concernées font des chiffres d'affaire astronomiques car leur gestion est libérale et capitaliste à l'extrême, alors mettre sur la paille quelques dizaines d'hommes et de femmes, et construire (à bas prix) une usine de remplacement à 20.000 kilomètres, où des remplaçants pauvres vont aller non seulement bosser pour 10 fois moins, mais en plus pour une productivité 2 fois meilleure (oui car le pauvre est prêt à tout pour garder un travail offert généreusement par un riche européen - mais qui en a une toute petite - qui viendrait "aider à ce que son pauvre pays se développe", même de se tuer littéralement au travail, de bosser 12 à 24 heures par jour... Eh!... Ces pauvres là ne sont pas nos "SDF" parisiens habillés en Nike et en Lacoste... faut pas déconner), c'est tout à fait envisageable pour ces crevards ! Et quoi qu'on fasse ça changera pas, sauf si on s'y met tous. Je suis épuisé. Qui prend le relai?